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]]>que la maison soit passive ou plus « traditionnelle ».
Après avoir fait creuser le sol pour vérifier sa portance et ses mouvements potentiels par une étude de sol complète, nous voici à l’étape des fondations.
Ayant retenus un principe de vide sanitaire et une dalle en béton, le chantier n’a pour l’instant, rien de différent d’une maison maçonnée traditionnelle.
En tout cas, rien de visible à priori !
Car, si l’on se penche un petit peu plus sur la structure de ladite dalle, les différences apparaissent.
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Comme toute dalle, celle-ci est composée d’un « sandwich » permettant d’isoler la maison du climat extérieur.
La composition retenue permet, en partant d’une semelle qui est la « chaussure » de la maison, de monter les parpaings jusqu’à obtenir un vide sanitaire de 30 à 50 cm suivant la hauteur du terrain.
Nous posons sur ces parpaings des poutrelles et un hourdis isolants pour maintenir une dalle de compression. Puis, nous ajoutons à cette dalle 10 cm d’isolant et enfin une chape anydrite qui sera notre revêtement de sol.
Nous ajoutons également, du côté extérieur de la dalle, des surbots en béton armés, pour renforcer la zone d’appui de la structure bois et, limiter les ponts thermiques.
Je passe rapidement sur l’étape d’étanchéité, qui consisteras à passer des mètres carrés d’adhésifs spéciaux le long de toutes les jointures possibles en bandes recouvrantes.
Et le tout pour obtenir les (très bons) résultats suivants (à comparer avec les chiffres BBC / RT2005 présentés dans l’étude thermique) :
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Soit 40 bons centimètres de dalle pour nous apporter à la fois, inertie et isolation.
Pour ceux qui sont encore présents à la fin de cet article plus « technique », voici la première photo de notre chantier et le lien vers les photos spécifiques à la dalle.
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